top of page

  Installation

installations Chapelle Le rai Profond, St Sigismond
2019
Les deux installations réalisées pour le circuit Art et Chapelles en Anjou, relient les chapelles du Rai profond à trois notions:
la lumière que leur nom évoque (rai de 400 morceaux de Kraft dorés qui effleure le sol) , la terre (lit de paille et paillet dans la petite chapelle) et au cours d'eau qui coule à leur pied (frise picturale sur les murs retraçant le cheminement de l'artiste dans le ruisseau à sec, frise interrompue quand les pas l'étaient eux-aussi)
cf: video

"si on allait..."

2018

      

"Si on allait silencieux, nomade vers le rien, l’inconnu.  Juste pour aller, 

juste pour le trajet, le chemin à parcourir, juste pour avancer, être là,

en la peinture, la rencontrer.  Etre présent au monde...."

E.W. septembre 2018

"re(s)soure"

2017

Cette installation pensée pour les Vieilles Ecuries de Trélazé combine divers aspects des pratiques d’Elisabeth Wadecki : au sol la mosaïque Re(s)source déposée sur un lit de foin, au mur deux textes se déploient du plafond au sol, deux textes écrits par l'artiste, qui évoquent ses lieux/terres nourriciers. Egalement sur le mur des peintures de grands formats et une vidéo réalisée

par Lola Turpin d’après des croquis de l’artiste. Ce petit film composé d’autoportraits de celle-ci petite fille voyageant dans sa peinture, chevauche visuellement les toiles réelles et donne ainsi au propos de l’Elisabeth Wadecki cohérence et force.

cf vidéo

"pérégrination polonaise"

2017

Cette œuvre a été conçue in situ pour la galerie « le café des négociants ».   

Une bande étroite et longue de 14 mètres courant le long des murs, déroule une vision sismographique de paysages, où le trait répété, scandé,            telle une trace laissée journellement dans un carnet de voyage, raconte    une balade dans l’écriture, reliant l’œuvre à la pratique poétique de l’artiste, à sa connivence avec la gestuelle de la calligraphie et la liberté de son abstraction.

cf vidéo

"la part manquante"

2016

L’écriture, pratiquée dans ces ateliers, induit dans le travail d’Elisabeth wadecki une forme de calligraphie spatiale qui mène l’artiste au dessin,         et vers l’installation la part manquante.

L’œil navigue entre mots sur le terreau déchirés, éparpillés, et un trait affirmé ou parfois esquissé, et enfin levant le regard, il parcourt un récit imagé          de 41 pages-tableaux.

Ici, le véritable fil rouge est bien le caractère charnel de l’écriture.

cf vidéo

"Ici et là-bas, Elles"

2016

Ses œuvres se développent également en lien avec les ateliers que l’artiste mène auprès de femmes demandeuses d’asile. L’écriture, de façon obstinée, contamine l’espace. Elle se réincorpore, se réincarne sur des surfaces

plus sensuelles, dont la toile, au dos de laquelle l’artiste brode.

L’installation en quinconce du triptyque Elles suspendu dans l’espace donne

à lire en résonance les plans du récit et les plans de la peinture.

Autre plan de lecture: les sol, parcouru des noms des villes d'où viennent les réfugiés que côtoie l'artiste. La matérialité abstraite des ces villes calligraphiées en perse, arabe, géorgien, russe...renforce le propos de l'artiste.

cf vidéo

Mobile

2014

Ce  mobile créé in situ pour l’espace d’Art Le Rez de Chaussée à Nantes,

se compose de près d’une centaine de textes suspendus, extraits de l’œuvre  de l’islandais J.K.Stefansson, et des articles de « Femmes ici et ailleurs ».

De petits poufs invitent le public à s’isoler dans la lecture, celle, violent reflet de la lutte des femmes, et celle poétique et bouleversante de l’auteur.                 

 Les larmes des anges a été créé totalement en symbiose avec un tome de la trilogie de l’auteur.  Ce grand tableau, partie intégrante de l’installation, converse avec la temporalité fragile qui émane du mobile. L’espace et le temps paraissent se déréaliser et le monde acquérir une tonalité poético-onirique.

bottom of page